Extrait d'un mail envoyé par une militante à...

Extrait d'un mail envoyé par une militante à UNANIMUS (04/11/2012) http://unanimus.over-blog.com/article-telethon-et-vivisection-112236255.html
- TÉLÉTHON ET VIVISECTION -
" Combien d'argent le Téléthon a-t-il rapporté à l'AFM de 1987 à 2010 ?
1 MILLIARD ET 600 MILLIONS D'EUROS pour 75 MILLIONS D'ANIMAUX MORTS !
Au fil des ans, le Téléthon a de plus en plus de détracteurs lui reprochant de financer les profits des laboratoires privés dans une stratégie industrielle et gouvernementale bloquant les perspectives de la recherche, mais aussi d'utiliser des sommes astronomiques à mauvais escient. Les frais de fonctionnement du Téléthon et ceux de l'AFM sont sur la sellette.

Sacrées rémunérations, achat de maison, avantages en nature et suppléments de voyages d'agrément, facture de France Télévision inclus, c'est ce qu'on lit sur le rapport de la Cour des Comptes 2004 :


Le CLAM Collectif de Libération Animale de Montepllier avait mis en ligne dès le 2 octobre 2011 un modèle de lettre à envoyer à l'AFM pour demander des comptes, officialiser la vérité sur les meurtres d'animaux et justifier un refus de don :
http://clam34.org/spip.php?article704
Soyons nombreux à exiger une science moderne, performante, et réellement éthique, à la hauteur de la générosité des français !

Les chercheurs modernes sensés et progressistes tirent donc la sonnette d'alarme : Il faut passer aux moyens substitutifs, beaucoup plus rapides et moins chers qui existent depuis longtemps ! Malgré cela l'AFM continue, depuis 25 ANS que dure le Téléthon, à assassiner les animaux, à perdre un temps pourtant si précieux et l'argent des dons. Mais on occulte aussi les considérables subventions que le gouvernement lui verse pour mener son train de vie. Des chiffres qui donnent le vertige.

Le Téléthon serait devenu un véritable système de fonctionnement, une vieille institution poussiéreuse qui rémunère une foule de services satellites (industrie de l'élevage d'animaux de laboratoire compris) et de personnes enracinées dans un confort 5 étoiles - sauf les bas salaires - auquel personne ne semble prêt à renoncer.